Cf. Irréfutabilité du scepticisme ; relativisme absolu -> nécessité de choisir.
On choisit de décrire de manière cohérente les informations sensibles (cf. scepticisme -> hédonisme) : le plus intéressant (subjectivement) ; indispensable à la survie de l'individu ; le plus utile aussi.
Ceci=choix arbitraire. La théorie ainsi construite (et achevée) pourra (au mieux, car il est possible que les effets soient inexplicables sans faire intervenir les essences cachées [mais ces essences cachées deviennent alors effets (sur moi, par ma théorie) et donc font partie de la théorie, qui choisit d'étendre son champ autant que nécessaire pour atteindre son but]) décrire uniquement l'ensemble des informations sensibles (nécessité de poser les limites de conclusions, similaires aux limites de départ), ce qui n'est déjà pas mal.
Choix d'une description cohérente des informations sensibles -> exclusion de la folie [ma théorie peut revenir à celle de Descartes, cohérence =clair et distinct, sans l'erreur de Dieu].
Mon entente avec les autres (information sensible) me conduit à penser que les autres ont les mêmes sensations. Pas solipsisme puisque volonté justement de prendre les informations des sens (par moi donc solipsistes) comme base du monde et de les expliquer (le solipsisme, comme le scepticisme=seulement une étape de la réflexion).
Nécessité du choix des axiomes en philosophie : je choisis de cherche une théorie décrivant au mieux mes sensations. En maths choix "bon"=intéressant, càd donnant lieu à développements. De plus antinomie de 2 choix pas définitive car possibilité d'inclusion dans un cadre plus général.